« Ô Lit » questionne nos rêves. Non pas à la manière d’un psychanalyste, mais plutôt à travers un ballet chorégraphique improvisé. Il n’en résulte pas moins de rigueur, de protocole et de concentration. Une scénographie spectaculaire composée de neuf lits en métal superposés s’anime au fil de la performance des danseur-euse-s. La structure métallique prend alors des accents tantôt comiques, tantôt oniriques.
Photo © Jérémy Paulin